Ce que le djazz fait à ma djambe au Théâtre du rond Point

Publié le 24 Octobre 2015

Ce que le djazz fait à ma djambe au Théâtre du rond Point

Jeudi soir, direction le Rond Point pour aller voir quelqu'un que j'apprécie beaucoup : Jacques Gamblin. Si j'ai beaucoup aimé l'ambiance, la musique et l'éclairage, digne d'un club de jazz cosy, j'ai moins accroché sur les textes très certainement car je ne suis pas assez calée en jazz. Par contre Jacques Gamblin est toujours aussi bon.

L'histoire

Grimpons à mains nues dans le ciel blue note.
Il pianote, fait ses gammes. Mauvais joueur, il s’excuse. Il a arrêté le piano à douze ans, effrayé par une prof que le « bon doigté » obsédait. Il a essayé la guitare, la batterie. Rien, nul. Pour draguer les filles, le seul air qu’il avait à offrir c’était, dit-il, « celui de ma gueule : l’air d’un con ». Jacques Gamblin appelle ses complices au plateau, et les mots dérapent. C’est parti, c’est vertigineux. Contrebasse, batterie, trompette, saxo, platines. Au piano, Laurent de Wilde, poète, essayiste, pionnier de la révolution électronique du jazz, répond aux mots scandés, syncopés, hachés menu ou élastiques du comédien. Tous partent en quête de « miss Lady Jazz », grâce féminine, leur rêve d’une musique absolue, d’une muse idéale.
Blues, groove, funk et soul s’entremêlent aux mots de Jacques Gamblin, freestyle poétique pour un concert hors cadre, une pièce hors g
enre.

Y aller ?

Du 13 au 31 oct. à 18:30

Le Site : ici

Rédigé par Panamsaine

Publié dans #Sorties

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